Première chose l’apprentissage de la cage (à l’âge de 2-3 mois). La cage du chiot est la tanière sûre et sécurisée du chiot. Beaucoup de gens appellent la cage du chiot comme une «prison pour chien». N’oubliez pas que c’est une erreur et que ce n’est pas ainsi que le chiot verra sa cage. Peut-être qu’au début, il sera un peu contrarié d’avoir son espace limité, mais il ne faudra pas beaucoup de temps jusqu’à ce qu’il commence à aller dans sa cage de lui-même.
Quand votre chiot s’habituera à sa cage, il sera beaucoup plus facile de l’emmener pour des trajets en voiture, ou chez le vétérinaire.
L’apprentissage de la propreté chez le chiot (à l’âge de 2-3 mois)
À l’âge de 2-3 mois, votre chiot n’aura pas le contrôle de sa vessie. Il y a des races qui apprendront à contrôler leur vessie en quelques mois et pour certaines, cela pourrait prendre encore plus de temps. C’est pourquoi l’apprentissage de la propreté doit commencer dès le premier jour, dès que vous ramenez votre chiot à la maison. Si vous établissez les bons schémas dès le début, votre chiot apprendra à contrôler sa vessie le plus rapidement possible.
Les méthodes d’apprentissage de la propreté sont différentes selon les pays.
Il existe différentes méthodes d’apprentissage de la propreté, l’utilisation d’une cage, d’un ex-pen, d’une porte pour chien menant à une petite cour, ou d’une litière.
L’apprentissage de la propreté se fait de différentes manières.
Apprendre que vous êtes le chef de meute (à l’âge de 2-3 mois)
Votre chiot doit comprendre que vous êtes le chef de meute dans votre famille. Toutes les décisions sont prises par vous, ce qui est O.K et ce qui ne l’est pas. Couper les ongles, faire le toilettage et donner des médicaments, mettre un collier et plus encore. Vous devez décider de ce qui est nécessaire et de ce qui est O.K.
Mordiller et taper (à l’âge de 2-3 mois)
Beaucoup de chiots qui ont été enlevés à leur mère en bas âge (moins de 7 semaines) ont tendance à jouer plus brutalement. Votre travail consiste à prendre la relève là où sa mère s’est arrêtée et à commencer à enseigner à votre chiot comment agir et à apprendre à se retenir.
N’oubliez pas que c’est vous qui devez fixer les limites de tous les comportements, bons ou mauvais.
Vos règles de vie à la maison (à l’âge de 2-3 mois)
Vous devez commencer dès le premier jour et apprendre à votre chiot quels comportements sont acceptables dans votre maison et quels comportements ne le sont pas. A-t-il le droit de jouer avec le papier toilette ? De monter sur les meubles ? Est-il autorisé à entrer dans la cuisine lorsque vous mangez ? A-t-il le droit de manger votre journal ? A-t-il le droit de voler des chaussettes dans le panier à linge ? A-t-il le droit de dormir sur votre lit avec vous ?
Vous devez décider des règles de la maison ! Vous devez être complètement cohérent avec ce que vous avez décidé. Il n’y a pas besoin d’un commandement spécial «Non !» et «Bien !» vous serviront assez bien, mais seulement si vous avez enseigné ces mots correctement.
La plupart des gens pensent qu’un programme de formation serait beaucoup plus difficile pour un chiot plus âgé….mais ce n’est pas le cas. Peu importe que votre chiot ait 3 mois, 6 mois ou 9 mois, c’est toujours l’ordre de la formation qui compte.
Il pourrait être un peu plus difficile de le former, mais si vous continuez à travailler et à faire les routines, à prendre le contrôle et à former le chiot comme vous en aviez besoin, il ne faudra pas longtemps avant que le chiot soit bien formé.
Souvenez-vous que l’éducation domestique d’un chiot prend beaucoup de temps, ce n’est pas une tâche facile mais c’est très important, si vous formez bien votre chiot, vous aurez un chien plus âgé bien élevé qui sera facile à manipuler mais sinon, vous vous retrouverez avec une grosse bête duveteuse de 40 kg autour de la maison qui ne vous écoute pas et fait ce qu’il veut.
Renforcement, stimulation et gestion de l’énergie
Le développement d’un chiot gagne à être complété par des stratégies orientées vers le renforcement positif, la modulation de l’activité et l’entraînement cognitif. Plutôt que de multiplier les corrections, privilégiez des séances courtes et répétées d’obéissance et de jeux structurés qui renforcent l’attention, la mémoire associative et l’autocontrôle. Introduire des exercices de recherche olfactive, des jeux-casse-tête alimentaires et des parcours sensoriels permet d’augmenter la confiance tout en sollicitant des compétences différentes de la simple dépense physique. Le conditionnement opérant, assorti d’un signal clair de départ et d’une récompense fiable (friandise, jeu, contact social), favorise l’installation de comportements durables sans stress inutile. Varier les supports — jouets distributeurs, mini-parcours d’agilité adaptés à l’âge, exercices de relais — aide à canaliser l’excitation et à prévenir les réactions impulsives.
Au-delà des activités, penser en termes d’enrichissement environnemental et de routine permet de limiter l’ennui et les comportements indésirables. Programmez des périodes alternées d’activité physique, de stimulation mentale et de repos ; respectez des durées progressives afin d’habituer le chiot aux nouveaux défis sans le fatiguer. L’habituation aux stimuli quotidiens (bruits, manipulations, présence d’autres chiens) et la socialisation progressive réduisent l’anxiété et favorisent la résilience émotionnelle. Tenir un court journal de bord des progrès — signaux, récompenses efficaces, difficultés observées — aide à adapter les sessions et à assurer une forte cohérence entre les membres du foyer. Pour des fiches pratiques, des idées d’activités adaptées aux différents stades de développement et des outils pour planifier les séances, consultez sur le site Co Entreprendre.
Suivi santé et développement moteur : un complément essentiel
Au-delà des apprentissages comportementaux, il est important d’instaurer un suivi régulier du chiot pour détecter précocement les signes de malaise et adapter l’éducation. Tenir un carnet de bord des croissances (poids, appétit, selles, dentition) ainsi que des routines de sommeil et d’alimentation permet d’objectiver l’évolution et d’ajuster la charge d’activité. Pensez également à intégrer des contrôles simples de bien‑être — inspection des oreilles et des coussinets, évaluation du tonus musculaire et de la coordination — qui renseignent sur la maturité motrice et les besoins énergétiques. Un repérage précoce des troubles alimentaires ou d’un rythme veille‑sommeil perturbé facilite l’intervention et prévient le décrochage dans l’apprentissage.
Complétez le travail d’obéissance par des exercices ciblés sur la conscience corporelle et la tolérance aux manipulations : petits parcours d’équilibre, jeux de stabilisation sur surfaces souples, déplacements latéraux ou montées progressives d’obstacles adaptés renforcent la proprioception et la confiance en soi. Associez à cela des protocoles doux de désensibilisation systématique aux soins (brossage, toucher des pattes, prise de température) pour réduire le stress lors des visites médicales. Enfin, formaliser des indicateurs simples — fréquence des récompenses efficaces, types d’exercices tolérés, variations de la courbe de poids — aide à évaluer la progression du répertoire comportemental et la plasticité de l’apprentissage.
Nutrition préventive et soins prophylactiques
Au-delà de l’éducation comportementale, une approche proactive de la nutrition et des soins préventifs conditionne fortement la santé à long terme du chiot. Après le sevrage, la transition alimentaire doit être progressive pour préserver le microbiome intestinal et réduire les risques de troubles digestifs ; privilégiez des rations adaptées à l’âge avec une densité énergétique et un apport protéique compatibles avec la croissance. Surveillez l’index de condition corporelle plutôt que le seul poids pour éviter le surpoids ou les croissances trop rapides qui peuvent compromettre le développement ostéo-articulaire : la balance calcium/phosphore et la charge calorique sont des variables à ajuster selon la conformation et le niveau d’activité.
Complétez ce volet nutritionnel par des mesures simples de prévention : hydratation contrôlée, introduction raisonnée de compléments (probiotiques, acides gras essentiels) uniquement sur avis, et suivi régulier de la courbe de croissance. La lutte contre les parasites externes et internes (puces, tiques, vers intestinaux) doit être intégrée au protocole de soin et adaptée à l’environnement. Tenez un carnet de bord nutritionnel mentionnant quantités, réactions digestives et préférences alimentaires pour détecter tôt les intolérances ou allergies émergentes et ajuster la ration. Un plan nutritionnel individualisé, revu périodiquement, optimise la récupération après l’effort, soutient le système immunitaire et participe à une meilleure sociabilisation en réduisant l’irritabilité liée à la faim ou aux déséquilibres métaboliques. Ces gestes simples, mis en cohérence avec l’entraînement et le repos, renforcent la résilience et la longévité du chiot tout en facilitant le travail d’éducation au quotidien.



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